Lettres de François PIERRE (4ème R.I. puis Compagnie 5/2 et 5/4 du 1er R.G.) – Les dernières lettres, juillet 1915

Dernières lettres de François PIERRE avant qu’il ne disparaisse lors de l’offensive allemande des 13 et 14 juillet 1915. On ne retrouvera jamais son corps… A-il été enseveli dans une galerie de mine ? personne ne connaît à ce jour les circonstances exactes de sa mort…
Nous remercions chaleureusement M. Gallienne, son arrière petit fils qui nous a confié ces lettres. Que le souvenir de François PIERRE, Mort pour la France le 14 juillet 1915, jamais ne meure.

Lettres de François PIERRE (4ème R.I. puis Compagnie 5/2 et 5/4 du 1er R.G.) – Lettres de juin 1915

Suite des lettres de François PIERRE sur la période de juin 1915. François PIERRE est pendant cette période toujours affecté au 1er Régiment de Génie, à la compagnie 5/2, puis à la compagnie 5/4 à partir du 20 juin. C’est la compagnie commandée par le Capitaine BLANC dont nous avons ici publié les récits.

Lettres de François PIERRE (4ème R.I. puis Compagnie 5/2 et 5/4 du 1er R.G.) – Lettres de mai 1915

Suite des lettres envoyées par François PIERRE à son épouse Mathurine.
François PIERRE a quitté le 4ème Régiment d’Infanterie et a rejoint la Compagnie 5/2 du 1er Régiment de Génie qui participe à la guerre de mines. Le voici devenu mineur et terrassier

Lettres de François PIERRE (4ème R.I. puis Compagnie 5/2 et 5/4 du 1er R.G.) – Lettres d’avril 1915

Nous publions ici une série de lettres rédigées par le soldat François, Marie PIERRE, soldat au 4ème Régiment d’Infanterie puis au 1er Régiment de Génie, Compagnie 5/2 puis Compagnie 5/4, compagnie particulièrement active dans la guerre de mines en Argonne commandée par le Capitaine Louis Blanc dont nous avons ici publié le récit. Cette première série de lettres écrites à sa femme Mathurine couvrent la période d’avril 1915.

Lettres de Jan Praud, 6ème RIC, tué au bois de la Gruerie le 14 juillet 1915

Jean-Marie dit Jan PRAUD a 30 ans quand la guerre est déclarée. Voyageur et aventurier, il a séjourné en Abyssinie, avant de partir en Chine où il travaille dans la construction de chemins de fer. A l’annonce de la déclaration de guerre, Il demande immédiatement son rapatriement pour aller se battre et rentre en France avec un bataillon de volontaires réservistes en février 1915. Il appartient au 6ème régiment d’Infanterie coloniale. Il est caserné à Lyon où il reste jusqu’à début avril. De Lyon, il envoie des lettres à sa famille qui disent son impatience à rejoindre le front. Le 13 avril il est déjà à Chaumont et va rejoindre sa compagnie. Ses premières lettres des tranchées datent du 15 avril. Il est basé dans le secteur du Four-de-Paris, d’où il écrit à sa famille. Il meurt le 14 juillet 1915 au Bois de Gruerie.

Lettres du Lieutenant Pierre Monnier – 46ème R.I. (2ème Partie)

2ème partie des lettres de Pierre Monnier, Lieutenant au 46ème Régiment d’Infanterie, jusqu’à celle qu’il écrira la veille de sa mort le 8 janvier 1915 dans le ravin des Meurissons

Lettres du Lieutenant Pierre Monnier – 46ème R.I. (1ère Partie)

Pierre MONNIER, Lieutenant au 46ème R.I. fait parti de ces jeunes officiers tombés avec gloire en Argonne.
Le 8 janvier 1915, en se lançant au-devant de l’ennemi qui avait forcé la première ligne de tranchées, il fut atteint d’une balle au cœur au moment où il criait : « A la baïonnette, mes amis! ». En forêt une stèle porte aujourd’hui son nom. Nous publions ici la première partie des lettres qu’il avait écrit à ses parents pendant les premières semaines de la guerre.

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